LieutenantSébastien GREVE: Il est affecté au 1 er régiment d’hélicoptères de combat à Phalsbourg le 14 juin 2011. Jeune officier, il est un pilote sérieux et assidu dans la poursuite de ses formations et obtient rapidement ses qualifications complémentaires. Il est promu sous-lieutenant le 1 er mars 2013. Pilote opérationnel performant et excellent sportif, il
Société C'est souvent quand un soldat meurt qu'on apprend l'existence d'une opération spéciale française. Quelles sont les autres missions dont on ne parle pas ? Immersion. Publié le 14 juillet 2019 à 11h30 Des soldats du 1er RPIMa sécurisent une zone de poser au Burkina Faso, en décembre 2017. Photo © JEAN-MARC TANGUY La scène se déroule le 13 juin dernier à Pau, au cœur du commandement des forces spéciales terre, plus précisément sur la base du 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales, entre tarmac et hangars. En présence des plus hautes autorités militaires, de représentants de toutes les unités des forces spéciales et de la Direction du renseignement militaire DRM, les images sont impressionnantes. Une ministre face à des dizaines de commandos, le visage caché par une cagoule – leur anonymat est protégé par l’arrêté du 15 septembre 2006. Plusieurs semaines après l’hommage aux deux commandos marine morts au Burkina Faso pour sauver deux ressortissants français, la ministre des Armées, Florence Parly, a tenu à saluer l’engagement de l’ensemble de ces unités d’élite des armées françaises. Il en faut plus pour arrêter les forces spéciales. Fait rarissime, la locataire de l’hôtel de Brienne, en présence de quelques journalistes, commence son discours en révélant à ceux qui l’ignoraient une opération spéciale récente, fin février 2019, dans le nord du Mali. Alors qu’ils viennent de dénicher le convoi d’une cible majeure, les hélicoptères des forces spéciales doivent rentrer à leur base pour être ravitaillés. Elle raconte S’engage une course poursuite épique à plus de 120 kilomètres-heure dans les dunes. Après des tirs de sommation, les deux premiers pick-up se rendent ; les commandos se posent et capturent les terroristes. » Mais les hélicoptères, à court de carburant, doivent regagner leur base. Rendant hommage à la vaillance des commandos français, Florence Parly poursuit Il en faut plus pour arrêter les forces spéciales. Les commandos enfourchent alors l’un des pick-up capturés à l’ennemi et foncent à la poursuite du troisième véhicule. […] Les terroristes sortent du véhicule, ouvrent le feu. Ils sont neutralisés. Tous. Parmi eux, il y avait leur chef, Yahia Abou al-Hammam l’émir de Tombouctou. » Cette “cible de haute valeur” HVT, high value target n’est autre que l’auteur de l’attentat contre l’ambassade de France à Ouagadougou, en mars 2018. La valeur est immense pour la France. De manière assez explicite, celle qui s’exprime n’y va pas par quatre chemins Ce genre d’opérations exceptionnelles, je dois le reconnaître, est devenu le quotidien du ministère des Armées. » Comprendre, ce que les Français ne savent presque jamais des soldats des forces spéciales risquent héroïquement leur vie chaque jour – et pas ponctuellement -principalement au Sahel, avec l’opération Sabre, et au Levant Irak et Syrie, pour notre sécurité. Savoir se rendre invisibles Employés par le commandement des opérations spéciales COS, les 4 400 soldats, dont 600 à 800 opérateurs sont déployés en permanence à l’étranger, ont rarement été autant sollicités que depuis les attentats de 2015. Ces professionnels du geste parfait », comme le répète souvent leur commandant, le “GCOS”, le vice-amiral Isnard, qui doit prendre les fonctions de préfet maritime de la Méditerranée à Toulon dans les prochaines semaines, sont devenus, depuis une dizaine d’années, l’outil idéal à disposition du politique pour mener des actions rapides, souples et discrètes à l’étranger. Face à la multiplication des guerres asymétriques, dans lesquelles l’adversaire n’est pas toujours clairement identifié, les forces spéciales offrent une diversité de profils et des capacités à réaliser toutes les missions », explique un commando. Les deux principales sont le renseignement -effectué souvent par des équipes de recherche de 5 à 6 personnes -et l’action directe, menée par des groupes action de 10 à 12 soldats. Tout commence par le renseignement. Unité d’élite spécialisée dans le recueil du renseignement militaire, experte des techniques d’infiltration, de la pose de capteurs et de l’exploitation des informations permettant le montage des opérations, le 13e régiment de dragons parachutistes 13 RDP a montré l’utilité de ses savoir-faire pendant la guerre froide. On enterrait littéralement des mecs le long d’axes, dans des canalisations ou le long de forêts, pour identifier et compter les mouvements des chars, véhicules, troupes, observer les axes d’effort de l’ennemi soviétique et en déduire la manœuvre », explique un officier. Encore aujourd’hui, chaque dragon parachutiste doit suivre un stage pendant lequel il s’enterre dans un trou pendant deux semaines sans jamais être découvert, tout en assurant sa mission de surveillance d’un axe ou d’un objectif. L’enjeu est de ne pas laisser de traces, après avoir été parachuté avec 70 kilos de matériel, en se déplaçant à pied, dans la neige, en mer ou encore en navigation fluviale – l’unité dispose de bateaux semi-rigides ultra-silencieux et les nageurs formés par les commandos marine respirent au moyen du full range oxygen gas system “système d’oxygène gazeux complet” pour ne pas faire de bulles sous l’eau. Ils sont aussi capables d’être parachutés depuis 8000 mètres d’altitude. Le renseignement, clé pour désigner les objectifs pour les frappes La pose de capteurs et le détournement d’objets le régiment dispose d’une cellule dédiée sont toujours sensibles quand on introduit une caméra ou un micro minuscule dans un faux rondin de bois, dans un caillou reconstitué ou dans une arme, il ne doit pas être possible de remonter à la France en cas de découverte. Il est parfois décidé d’abandonner certains matériels à l’issue de leur utilisation. La plupart du temps, tout est récupéré. Tout doit aller très vite pour ces opérations de pose, chacun connaît parfaitement sa mission La liberté d’action est inversement proportionnelle à la durée d’implantation », justifie un officier. Au Sahel et au Levant, l’unité a été particulièrement efficace pour désigner des objectifs pour les frappes. Le “13” est aussi sollicité pour ses capacités de traitement du renseignement de sources humaines Rohum auprès des Forces démocratiques syriennes FDS, ou des populations locales. La quasi-totalité des opérations de neutralisation part d’informations locales, les capteurs techniques prennent ensuite le relais. Grâce notamment à des drones ultra-sophistiqués permettant de transmettre en temps réel le renseignement recueilli, pour éviter les filtres. Avec d’autres unités, certains trinômes sont chargés de collecter des preuves de vie ou de mort de cibles -françaises ou non- en utilisant parfois des moyens médico-légaux. Au Levant, il n’a pas non plus été rare devoir des soldats français écouter dans les hôpitaux si des combattants soupçonnés d’appartenir à Dae’ch parlaient français. Les forces spéciales recourent aussi au recrutement d’interprètes dont la fiabilité peut être vérifiée en employant un deuxième interprète pour traduire les mêmes mots Il faut aussi être sûr de leur loyauté. » Au Levant, les Français ne cherchent pas à prendre le lead » en intervenant auprès des FDS, mais vraiment à accompagner et à former. Pour confirmer la mort de djihadistes, on a des bases de données énormes, il y a des échanges qui se font via les cellules de coordination interservices pour partager avec les autres services français », précise une source au ministère de la Défense, qui poursuit Sur ce sujet, les forces spéciales sont chargées de la collecte de renseignements, et le plus possible on fait en sorte que ceux-ci puissent nourrir les dossiers judiciaires des “revenants”. Mais après, c’est vraiment la DGSI [Direction générale de la sécurité intérieure] et la justice qui bossent. » À noter les très nombreux échanges avec les partenaires étrangers de la France, principalement les États-Unis, qui disposent de moyens techniques considérables en matière de renseignement, comme l’opération de libération d’otages au Burkina Faso par les commandos marine et le 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine 1er RPIMa l’a montré. C’est la question qui intéresse le grand public, surtout après l’inconsciente sortie de François Hollande, qui avait affirmé à des journalistes avoir ordonné des exécutions extrajudiciaires, des “opérations homo”. Ces éliminations de personnes sont menées en théorie par le groupe Alpha du service action de la Direction générale de la sécurité extérieure DGSE et non par les forces spéciales. On est là pour éradiquer Dae’ch dans sa globalité, pas uniquement les Français. Il est faux de dire qu’on neutralise en priorité les Français », nous indique une source bien informée. Et d’expliquer Avec les autres pays de la coalition [anti-Dae’ch, NDLR] , on se répartit les HVT -des Français en font partie- en fonction de l’endroit où elles se trouvent pas rapport à nous. Le critère est géographique. C’est la coalition qui désigne les cibles, pas nous. » Nos sources sont unanimes On est là pour éradiquer Dae’ch dans sa globalité, pas uniquement les Français. Par ailleurs, un soldat ne commet pas d’assassinat ! » La deuxième mission des forces spéciales est l’action directe, menée principalement par le 1er RPIMa, le CPA 10 et les commandos marine. Elle comprend les prises d’objectifs, la neutralisation d’ennemis, le contre-terrorisme, la libération d’otages et les actions de déception. Au sein de groupes action de 10 à 12 hommes, l’intervention est articulée depuis un poste de commandement opérationnel pouvant être à proximité de la mission, mais pas nécessairement. Avant le déclenchement, l’état-major de la task force croise le plus possible de renseignements humains, techniques, électromagnétiques, mais aussi le renseignement venant de pays amis. Dès que les informations sont suffisamment fiables, on doit savoir ce qui va se passer ». Le renseignement est alors affiné avec l’appui de la DRM et les groupes action sont choisis en fonction des besoins. Puis, c’est l’étape de collecte du renseignement “à fin d’action”, celui qui va permettre la mise en œuvre de l’opération. À partir de ce moment, une quasi-certitude la mission va avoir lieu. Commence alors la phase du “back brief ” l’opération est restituée devant les responsables du COS. Pendant ce temps, elle est soumise au GCOS, qui, s’il la valide, la propose au chef d’état-major des armées. Enfin, l’opération est proposée au président de la République. Si un civil est tué, on sait que l’opinion publique ne pardonnera pas. Combien de temps durent toutes ces étapes ? La chaîne de décision s’est raccourcie elle est capable de préparer et de décider un raid de libération d’otages en quelques heures », a récemment confié Florence Parly. Pendant tout ce temps, des équipes dédiées étudient tous les “cas non conformes”, les points de faiblesse et répondent à toutes les questions que faire si un hélicoptère est abattu ? que faire s’il y a des blessés ? si une équipe est isolée ? Les dossiers sont très bien préparés, l’état-major du COS est très professionnel », glisse une source à l’Élysée. Puis, feu vert politique, c’est le “top action”. C’est alors que des dizaines d’hommes de 20 à 30 ans s’élancent dans la mission. Récemment, les opérations de déception ont été particulièrement efficaces, avons-nous appris ne laisser aucun répit à l’adversaire pour le démoraliser, lui donner l’impression d’être assiégé par des forces nombreuses, cibler des actions et des lieux symboliques. Amenés à prendre des décisions qui engagent leur pays dans le plus grand secret, ces soldats savent aussi que les groupes terroristes utilisent beaucoup les boucliers humains Si un civil est tué, on sait que l’opinion publique ne pardonnera pas », décrypte un ancien. Notre obsession est d’être sûr à 100 % de tout ce qu’on fait, de l’identité et la qualité de la personne neutralisée. » Autre limite, relevée par un colonel considérant que les forces spéciales sont trop utilisées, au détriment des unités classiques leur emploi n’étant pas conçu pour une action qui dure dans le temps, il ne faut pas négliger l’armée conventionnelle et les nouveaux enjeux de guerre de masse ». Il n’en demeure pas moins que ces forces non conventionnelles qui ne pratiquent pas la clandestinité, réservée à la DGSE, représentent aujourd’hui 10 %des opérations extérieures de la France. Elles peuvent se flatter de s’être rendues indispensables.
LeKHB est appelé à combattre dans un large panel de situations et d'environnements diversifiés. Le 4e Régiment d'Hélicoptères des Forces Spéciales ( 4RHFS ), issu de l'ALAT, accompagnés du 3/61 Poitou et de la
31 décembre 2015 4 31 /12 /décembre /2015 1755 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense Je signale rapidement, avant de me projeter très au sud, cet ouvrage de Pierre-Yves Grolleau paru chez Marine Editions 49 €, 156 pages et consacré au 4e RHFS. Ce que j'ai pu voir de ce livre vaut l'investissement. La présentation de l'éditeur Au sein du Commandement des opérations spéciales, le 4e Régiment d'hélicoptères des forces spéciales occupe une place primordiale. Cette unité polyvalente fournit l'appui-feu et la mobilité tactique aux unités d'élite française commandos Marine, 1er Régiment parachutiste d'infanterie de marine, 13e Régiment de dragons parachutistes, commandos de l'Air, GIGN, Raid... Grâce au très haut niveau de ses personnels, le 4e RHFS s'est distingué au feu en Afghanistan, en Libye et dans la bande sahélo-saharienne. Ce livre exceptionnel, fruit de reportages très récents et exclusifs, plonge le lecteur au cœur de la mêlée, dans les coulisses des escadrilles d'opérations spéciales et des groupes action. Les témoignages des acteurs de la vie quotidienne du "4" permettent de découvrir le professionnalisme et la motivation inébranlable des pilotes, membres d'équipages, commandos, techniciens et instructeurs.
Description Insigne du 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales (4e RHFS).svg. Français : Créer sur Inkscape par Futurhit12. Date. 23 June 2019. Source. Own work. Author. Armée de terre Française / Vector graphic : Futurhit12. Béret vert la légion étrangère, dont il est la coiffure de repos et d’exercice voir Béret vert légion étrangère ; les commandos marine français vert foncé badge porté à gauche – tradition britannique ; les Special Forces, une force spéciale de l’US Army américaine vert très foncé ;Deuxièmement, Comment s’appelle le béret des chasseurs alpins ?Le béret de chasseur alpin aussi nommé tarte ou crêpe est un large béret porté par les troupes de montagne françaises, qui regroupent des unités au-delà de la seule tradition des chasseurs, et les scouts alpins spécialité montagne des Scouts d’Europe.Aussi, Quel est le meilleur commando français ?Le commando Hubert, auquel appartenaient Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, tués en sauvant des otages français, sud-coréen et américain, au Burkina Faso, appartient à l’élite de l’armée autre côté Comment devenir un béret vert ? Pour rejoindre les commandos marine, il est nécessaire, bien sûr, d’être volontaire. Après une préparation et une présélection, il est surtout indispensable de réussir le Stac ou stage commando. Quelque 170 postulants le tentent chaque année, mais seulement une trentaine le sont les meilleurs forces spéciales ? Voici, sans ordre particulier, dix unités d’opérations spéciales meurtrières du monde entier. L’unité commando des léopards des neiges de Chine. … Le Special Boat Service britannique. … Le GROM polonais. … Le groupe des services spéciaux au Pakistan. … Delta Force .Pourquoi les chasseurs alpins ?Dans le domaine civil, le béret de chasseur alpin est un accessoire idéal pour les activités en pleine nature telles que la randonnée, la chasse ou le camping par sa capacité à protéger. Le béret chasseur alpin est également un couvre-chef fantaisiste pour ceux qui aiment s’habiller de manière bataillon de chasseurs alpins ?27e bataillon de chasseurs a inventé le béret ?Il est né au sud de Pau au 15e siècle. À cette époque les bergers pyrénéens confectionnaient eux-mêmes leur béret avec de la laine de mouton, qui leur permettait de se protéger du froid et de la sont les forces spéciales françaises ?La genèse des forces spéciales, ce sont les commandos marine créés pendant la seconde guerre mondiale par les forces navales françaises libres. Il s’agissait d’envoyer des commandos sur les côtes françaises pour des missions de renseignement pour ouvrir la brèche » du 6 juin sont les meilleurs soldats du monde ?1 – Simo Häyhä Sniper finlandais qui a tué 542 soldats soviétiques en seulement 100 jours. iOS 10 les 10 astuces cachées à découvrir ! Gianluigi Buffon Italie 148 est le meilleur corps d’armée au monde ?Les Spetsnaz se sont forgés une féroce réputation. La troupe d’élite est considérée comme l’une des meilleures forces spéciales au entrer au commando Hubert ?Le candidat désirant devenir nageur de combat doit tout d’abord être officier Ecole Navale ou admissions parallèles ou officier-marinier Ecole de Maistrance, l’équivalent de sous-officier dans l’armée de terre de nationalité française engagé volontaire dans la Marine entrer dans les commandos ?Fusilier commando carrière / possibilité d’évolution Si aucune expérience n’est a priori requise pour intégrer la profession, il faut, pour postuler être au minimum titulaire d’un baccalauréat général, technique ou technologique ; être âgé de moins de 24 ans ; être de nationalité sont les 7 commandos marine ?Commandos marine Ils sont prioritairement employés par le Commandement des opérations spéciales COS depuis 1992. Ils sont au nombre de sept Commando Hubert, Commando Jaubert, Commando Kieffer, Commando de Montfort, Commando de Penfentenyo, Commando Ponchardier, Commando sont les régiments des forces spéciales ? Commandement des forces spéciales Terre Le commandement des forces spéciales terre. 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine. Le 1er RPIMa est un régiment des forces spéciales de l’armée de Terre. … 13e régiment de dragons parachutistes. … 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales .Pourquoi les chasseurs alpins ne prononce pas certaines couleurs ?De l’époque où Napoléon III voulut imposer le port du pantalon garance dans les armées françaises. Cela provoqua un mécontentement au sein des chasseurs à pied, d’où l’interdiction de parler de rouge depuis cette les chasseurs alpins ne disent pas rouge ?Le terme ROUGE » n’est autorisé que pour désigner la couleur du drapeau, celle du ruban de la Légion d’Honneur et, pour certains chanceux, les lèvres de la femme aimée. Le chasseur ne porte pas d’ UNIFORME » mais une TENUE ». Rougira nos pantalons bleus. »Où sont basés les chasseurs alpins ?IMPLANTATION. Le 13e bataillon de chasseurs alpins se situe en Savoie 73 au quartier Roc Noir à Barbie à 7 km de les diables bleus ?Le nom Diables bleus a pour origine la Guerre de 14-18 les soldats allemands, face à l’ardeur au combat des soldats français, surnommèrent ceux-ci diables noirs, devenant en français Diables bleus, en raison de leur tenue bleu étaient les premiers porteurs de béret basque ?Le béret basque » est béarnais vrai Les bergers partaient en estive avec leurs moutons , qui ont fourni la laine nécessaire à la fabrication de ce couvre-chef. Il ne fallait pas attraper froid. … Une fois redescendus sur la plaine, les bergers ont confié la confection du célèbre chapeau à leurs sont fabriqués les bérets ?Avec plus de 170 ans d’expérience, Laulhère emploie des techniques de production quasi inchangées et artisanales. Basée à Oloron-Sainte-Marie qui est la capitale du béret, l’entreprise française utilise des matières premières de qualité supérieure comme le cuir de la Montagne Noir ou la laine porter le béret landais ?Ils postent deux doigts au-dessus de leur oreille droite, et apposent leur béret au-dessus, de manière à ce que le couvre-chef s’incline légèrement vers la gauche. Les autres, eux, se retrouvent généralement devant leur béret comme une poule devant un c’est l’actualité, décryptage des tendances, conseils et brèves inspirantes, n’oubliez pas de partager l’article !Contributeurs 35 membres
Nouspartons aujourd’hui à la rencontre d'un métier peu connu et pourtant essentiel, celui de mécanicien hélicoptère au commandement des forces spéciales Terre. Au sein du 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales basé à Pau, le sergent-chef Romain a la lourde responsabilité de veiller au maintien en condition opérationnelle des aéronefs.
Cet article date de plus de sept ans. Le ministère de la Défense l'a annoncé dimanche 30 novembre. Il s'agit de Samir Bajja, 38 ans, né à Nîmes et sous-officier au 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales de l'Armée de terre Article rédigé par Publié le 30/11/2014 1238 Mis à jour le 30/11/2014 1304 Temps de lecture 1 min. Un soldat français des forces spéciales est mort samedi dans un accident d'hélicoptère survenu lors d'un vol d'entraînement au Burkina Faso, annonce le ministère de la Défense dimanche 30 novembre. Il s'agit de Samir Bajja, 38 ans, né à Nîmes et sous-officier au 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales de l'Armée de terre, précise l'entourage du ministre Jean-Yves Le Drian dans un communiqué. Le sous-officier se trouvait à bord d'un hélicoptère Caracal pour un vol nocturne d'entraînement lorsque l'appareil s'est écrasé. Il a été tué sur le coup, deux autres membres de l'équipage ont été Samir Bajja, engagé depuis 16 ans dans l'armée, avait notamment servi en Côte d'Ivoire, en Afghanistan, au Tchad et au le deuxième soldat français à mourir au Sahel depuis le lancement, le 1er août dernier, de l'opération Barkhane contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne. Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Afrique Vu d'Europe Franceinfo sélectionne chaque jour des contenus issus de médias audiovisuels publics européens, membres de l’Eurovision. Ces contenus sont publiés en anglais ou en français.

DamienBoiteux - 11 janvier 2013: aux premières heures de l'opération "Serval", le lieutenant Damien Boiteux, 41 ans, du 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales basé à

Un visuel du futur NH90 Standard 2 présenté l’an dernier au salon du Bourget Crédits FOB Le ministère des Armées a passé commande pour 10 hélicoptères NH90 Caïman portés au standard 2. Ces appareils contribueront au rajeunissement de la flotte du 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales 4e RHFS de Pau. De la charge pour Airbus Helicopters, Thales et Safran Le ministère des Armées a passé commande le 29 septembre dernier à NHIndustries de 10 hélicoptères NH90 pour équiper le 4e régiment d’hélicoptères de forces spéciales », annonçait hier la ministre des Armées Florence Parly lors d’une audition parlementaire sur le PLF 2021. La phase d’essais en vol et de qualification du NH90 standard 2 débutera en 2023, nous expliquait le GAMSTAT l’an dernier. Les livraisons interviendront en 2025 pour les cinq premiers exemplaires et un an plus tard pour les cinq derniers. Ce contrat ne sourit pas qu’à Airbus Helicopters, actionnaire principal 62,5% de la coentreprise NHIndustries. Thales et Safran seront les équipementiers majeurs et cette commande contribuera à faire vivre les sous-traitants des trois entreprises », ajoute Florence Parly. Airbus Helicopters avait déjà été le grand bénéficiaire du plan de soutien de l’aéronautique dévoilé en juin. L’entreprise de Marignane Bouches-du-Rhône pourra ainsi compter sur les commandes à venir pour 10 H160 pour la Gendarmerie, deux EC-145 pour la sécurité civile et huit Caracal light » pour l’armée de l’Air. Destiné à remplacer des Puma âgés de 43 ans en moyenne, ce Caracal light » sera un peu plus léger’, comme son nom l’indique en terme d’équipements », commentait récemment la DGA. Six machines iront à l’escadron d’hélicoptères 1/67 Pyrénées de la nouvelle Brigade des forces spéciales air BFSA, les deux restantes à l’escadron de transport 88 Larzac stationné à Djibouti. Modèle de NH90 standard 2 exposé durant le salon du Bourget 2019 Un standard non captif des forces spéciales Cette commande permettra aussi de conférer aux forces spéciales les capacités nécessaires tout en harmonisant la flotte d’hélicoptères de l’armée de Terre, ce qui est évidemment très important notamment du point de vue du MCO », souligne la ministre des Armées. La version FS » du Caïman a rapidement été renommée NH90 TFRA standard 2 ». Bien qu’étant destinée en priorité au 4e RHFS, cette évolution n’a en effet pas vocation à rester captive des forces spéciales. Celles-ci joueront leur rôle de de précurseur opérationnel afin que le standard 2 puisse ensuite essaimer vers l’ensemble des 74 Caïman opérés à terme par l’armée de Terre, au plus tard lors de la rénovation à mi-vie des appareils planifiée à l’horizon 2032-2035. L’évolution du Caïman repose essentiellement sur le tryptique caméras grand champ Eurofl’Eye Safran – viseur de casque Top Owl Thales – boule gyrostabilisée EuroFlir 410 Safran. Évalué dans le cadre de l’étude MIRANDA notifiée en 2018, le système Eurofl’Eye repose sur deux ensembles de trois capteurs distribués autour du nez de l’appareil et offrant une perception accrue, en relief et partagée à tout l’équipage de l’environnement immédiat, de jour comme de nuit. D’autres adaptations importantes mais techniquement moins complexes sont envisagées, telles que l’adaptation de la soute aux missions des forces spéciales et l’amélioration de la connectivité par l’ajout de systèmes d’information et de communication spécifiques.
FileInsigne du 4e régiment d'hélicoptères des forces spéciales (4e RHFS).svg. Une page de Wikimedia Commons, la médiathèque libre. Aller à la navigation Aller à la recherche. Fichier; Historique du fichier; Utilisations locales du fichier; Utilisations du fichier sur d’autres wikis; Métadonnées ; Taille de cet aperçu PNG pour ce fichier SVG : 396 × 486 pixels. Autres
image Hélicos et commandos , publié par Henri-Pierre Grolleau, un spécialiste du genre, chez Marine Éditions, est un livre assez exceptionnel qui nous plonge au coeur des missions du 4e Régiment d’hélicoptères des Forces spéciales RHFS. Exceptionnel par ses photographies mais aussi par ses reportages exclusifs et les confidences recueillies par l’auteur. ................/................ Ayant été pendant longtemps la seule unité d’hélicoptères en Europe à être exclusivement dédiée aux opérations spéciales, le 4e RHFS a pris du volume au cours de ces dernières années. Signe des temps, ses effectifs et le nombre d’hélicoptères Cougar, Caracal, Gazelle, Tigre, Puma qu’il met en oeuvre n’ont cessé d’augmenter depuis les années 2000. Quand je suis arrivé au DAOS, en 1999, nous n’étions que 120 personnels avec 20 hélicoptères Puma et Gazelle répartis en deux escadrilles, les EOS 1 et 2. … Nous en sommes aujourd’hui à presque 500 hommes et 45 hélicoptères et le régiment ne cesse de grandir, avec accroissement correspondant de ses capacités offensives », raconte le commandant en second du 4e RHFS. ............/................... Outre les explications sur les modes de fonctionnement du 4e RHFS savoir-faire, moyens, formation des personnels, spécialités etc et ses relations avec les autres unités du COS, Hélicos et Commandos » s’attarde aussi sur des opérations récemment menées, notamment sur leur dureté, ce qui est rarement mis sur la place publique. Ainsi, par exemple, l’hélicoptère d’attaque Tigre est désormais souvent décisif » quand il s’agit d’appuyer des commandos pris sous le feu ennemi. Un opérateur des forces spéciales, Gauthier », raconte Au Mali, nous avons été fixés par l’ennemi et pris à partie à grande distance au cours d’une infiltration à pied après une dépose par hélicoptère. L’intervention d’un Tigre du ’4′ nous a permis de sortir de cette situation difficile en quelques minutes seulement. Le Tigre est devenu une sorte d’assurance-vie’, un moyen complémentaire des avions de chasse qui ne peuvent intervenir dans le terrain, au plus près de l’ennemi. Quand nous savons qu’un Tigre ne sera pas présent parce qu’ils sont engagés ailleurs ou indisponibles pour raison technique, nous réfléchissons à deux fois à notre mode d’action. » ................/................... La maniabilité du Tigre est aussi plebiscitée. Je peux vous révéler que nous avons acquis une grosse expérience dans l’évitement des roquettes de type RPG couramment employées par nos ennemis », témoigne un capitaine. Bref, en plus d’être un beau livre, avec ses superbes photographies qui mettent en valeur les machines et les hommes, Hélicos et Commandos » est une référence, non seulement pour les passionnés des voilures tournantes mais aussi pour celles et ceux qui s’intéressent de près aux opérations spéciales.
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4e régiment d hélicoptères des forces spéciales