Desrencontres qui vont changer le cours de sa vie et faire vaciller son cœur. Mais tout se passera-t-il comme prévu ? Une aventure humaine, une rencontre avec le monde, avec l’autre. Une remise en question de nos modes de vie. Un livre qui vous donnera le déclic pour reprendre votre destinée en main et accomplir vos rêves. Un récit
Publié le 11/01/2010 à 00h00 , mis à jour le 12/11/2020 à 15h49 Certaines situations semblent inextricables, jusqu'à ce qu'un déclic surgisse et avec lui les solutions pour en sortir. Cette prise de conscience soudaine permet d'amorcer des transformations dans son existence. Marthe Marandola, formatrice, a enquêté sur ce phénomène, sa provenance et les étapes pour y parvenir. La vie n'est pas un long fleuve tranquille. Se sentir bloquée dans une situation quasi insupportable est fréquent. Que ce soit un travail insatisfaisant, des infidélités chroniques du conjoint… Quand la coupe est pleine, chercher à en sortir est tout à fait légitime. Mais trouver une issue favorable ne va pas toujours de soi… Jusqu'à ce que tout d'un coup, un déclic surgisse, souvent quand on ne l'attend pas ou plus… Et là, une transformation peut s'opérer. Marthe Marandola, formatrice et co-autrice d'une enquête sur ce sujet, avance une explication "Cette prise de conscience soudaine s'apparente à une révélation, une évidence, comme le fait d'y voir clair, alors que la seconde d'avant tout semblait confus". Elle ajoute "En Anglais, on la désigne par Insight, voir de l'intérieur". Le déclic, une libération "La plupart du temps, les personnes sont en grande souffrance quand ils ne comprennent pas ce qui leur arrive" a pu remarquer Marthe Marandola. C'est le cas lorsque l'on rencontre des problèmes récurrents un amour toxique, un chef manipulateur, une amie qui vous trahit… Cette absence de compréhension peut s'accompagner d'un sentiment d'enfermement, où se mêlent inquiétude et inconfort. "C'est notre inconscient qui nous manipule" commente la formatrice. Tout le travail va alors consister à mettre de la conscience, de la compréhension et de la lumière dans l'immensité de cet inconscient. C'est là que le déclic intervient, une révélation soudaine et libératrice. Les formes du déclic sont inattendues Lors de l'enquête menée par Marthe Marandola et Geneviève Lefèbvre, il leur est apparu que c'est parfois un simple mot, une lecture, une rencontre, ou encore un événement plus radical, comme un accident ou une maladie qui sont à l'origine du déclic. Qu'il soit mineur ou majeur, peu importe, le voile se déchire et il est alors donné de voir "clair", dans le jeu de quelqu'un, ou une situation qui n'a que trop duré. Une simple discussion peut avoir l'effet d'une véritable claque, et voilà que vous comprenez qu'il ou elle ne vous aime pas. Un choc physique peut modifier en profondeur un regard sur la vie, sa fragilité et son terme. "Surprenant, anodin, ou tragique, ce déclencheur, par un jeu de domino, va entraîner un changement majeur" développe Marthe Marandola. Quelle que soit l'origine du déclic, il y a un avant et un après, souvent fondamentalement différent. Peut-on le provoquer ? "Le déclic surgit suite à une germination longue et secrète dans la marmite de l'inconscient" précise Marthe Marandola. L'être humain est ainsi fait que les difficultés, ou les épreuves qu'il rencontre, vont l'inciter à trouver des solutions. C'est ainsi qu'il va entamer un cheminement intérieur, qui va déclencher à plus ou moins long terme, ce fameux déclic. Il survient la plupart du temps à l'occasion d'un lâcher prise. A force de se triturer les méninges, ou la psyché en thérapie, il va y avoir un moment de "pause". Un renoncement face à l'illusion de contrôle que l'on peut avoir sur soi et sa vie… La plupart du temps à notre insu. C'est à ce moment-là que le déclic peut avoir lieu. On croit qu'on abandonne, mais ce n'est pas le cas. Notre inconscient, bien plus créatif que notre mental rationnel, va prendre le relais pour trouver des solutions… Bien dans son corps, bien dans sa tête ! Les pistes pour lâcher prise La nature première du déclic est de survenir lorsqu'on ne l'attend pas, le provoquer n'est donc pas souhaitable. Toutefois, "lorsque nous sommes obsédés par des solutions qui ne viennent pas, il est possible d'aider le mental à lâcher" module la formatrice… L'idée consiste à "penser à côté" comme le préconisait Einstein ! C'est simple au lieu de s'acharner, on passe à autre chose. Vous pouvez, par exemple, sortir et marcher, ou faire la vaisselle, danser... L'astuce consiste ainsi à passer d'une conception réfléchie au monde émotionnel. Essayez de vous montrer attentif à vos ressentis je suis triste, ou en colère… D'autres pratiques comme l'écoute des rêves peuvent également vous donner des pistes. Enfin, toute approche thérapeutique va vous orienter vers des prises de conscience… À voir aussi Quelles que soient les pistes que vous emprunterez pour chercher à comprendre, l'Euréka, est souvent au bout du chemin… Marthe Marandola souligne également que "La transformation n'est pas magique, elle est un début et elle ne dédouane pas des efforts à fournir ensuite". Il paraît que la quête de soi est le chemin de toute une vie, c'est sans doute ce qui la rend passionnante. Cewebinaire permet de reprendre sa vie en main et d'avoir une vie plus épanouissante. Vous verrez comment prendre du recul, ou comment définir des objectifs. Vous apprendrez également comment identifier les situations qui vous rendent le plus anxieux, comment prendre du recul, et comment vous recentrer.
Celles et ceux qui y ont participé, ou même simplement observé l'effusion démocratique des places, savent désormais qu'il est possible de faire entendre leur voix. Collectif 32mars Nuit Debout nous a donné le déclic pour ne plus rester à l’écart des décisions qui concernent notre vie. Collectif 32mars Nous sommes vos collègues, vos vos amies, peut-être vos frères ou vos soeurs, avec le même sentiment qui vibre en nous ce monde dysfonctionne, il est bâti sur un système injuste qui donne tout aux puissants. Avec la même intuition c'est en tissant des liens entre nous, en étant solidaires, complémentaires et déterminés envers nos adversaires communs que nous imposerons une autre logique. Nuit Debout a été un déclic, une clé de voûte précieuse. Celles et ceux qui ont participé ou même simplement observé l'effusion démocratique des places, savent désormais qu'il est possible de faire entendre leur voix, de reconquérir leur dignité. n'accepteront plus qu'une poignée de ou d'avant-gardistes dictent le fond, la forme, le rythme et la stratégie de leur engagement. savent que c'est à eux et elles de s'organiser localement, à leur échelle, aux côtés de leurs proches ou de quiconque voudra leur prêter main forte, avec tous les moyens à disposition pour reprendre en main leur vie. Mettre fin au harcèlement de rue, trouver un toit à celles et ceux d'entre nous qui dorment dehors, bloquer le pillage des ressources communes par les banques et les multinationales, enrayer les machines qui torturent les animaux dans les usines de l'agro-industrie, développer des processus de décision collective plus inclusifs que les simulacres actuels... Les objectifs ne manquent pas et demandent des stratégies différenciées qui toutes seront conçues et mises en place par le bas. Nous savons désormais que les grands plans décidés d'en haut sont minés par les conflits d'intérêts, la bureaucratie, la réduction des coûts, l'absence de contact humain. Les marées citoyennes transformeront tout, du local au global. Une colère monte, une colère sourde. L'atmosphère est tendue, sent le souffre, alimentée par des politiques jouant aux pompiers pyromanes. Il est encore temps de relever la tête, de dire oui à d'autres réalités, loin de celles qu'on nous impose d'en haut. Relevons-nous, tissons un réseau, sans aucun centre, face auquel ils ne pourront rien. Un maillage puissant, un filet dans lequel tomberont les ruines de ce système qui nous prive de notre dignité. Pour mieux bâtir le nouveau. Nul besoin d'entrer massivement dans les grandes organisations qui font de l'engagement un métier. Si les ONG, syndicats, associations sont des laboratoires précieux, le souffle, le nombre, la force collective, viennent d'en bas, des de nous. De celles et ceux qui éprouvent dans leurs peaux, la douleur d'une société sans avenir. En France, plus que partout ailleurs, grévistes de Mai 68, émeutiers de 2005, révoltés du CPE ou Nuit Deboutistes, nos générations se sont construites avec les révoltes et les manifestations. Et pourtant, pour la première fois, nous avons chaque année le sentiment qu'une génération naît et meurt, écartée, balayée. Notre engagement se fait hors du cadre institutionnel parce que ce cadre n'est pas le nôtre, ne nous laisse aucune place, ne nous offre aucun avenir. Nous vivons un basculement historique et ce qui naît sous nos yeux n'a pas encore de nom, mais nous pouvons déjà en percevoir les contours. Nous sommes là comme nous avons toujours été là dans les grands moments de l'Histoire, conscients de notre place, de notre force, ivres d'espoir. Nous ne sommes pas repliés sur nous-mêmes, désintéressés des affaires de la cité. Les alternatives citoyennes ne sont plus à construire, elles existent déjà, partout. Nous disposons d'outils inédits dans l'histoire humaine, qui, mis dans les mains de toutes, sont améliorés par l'intelligence collective, et dépassent leur vocation mercantile réseaux sociaux, vidéos en direct, vote en ligne... Il n'y a plus de raison technique pour tenir qui que ce soit à l'écart des décisions qui concernent sa vie. Que chaque jour de mars voie la naissance d'un nouveau collectif tourné vers l'action, de nouveaux liens chargés de sens. C'est ici et maintenant. 32Mars Les autres co-auteurs sont Antoine, 26 ans, Auto entrepreneur Communication Passionné par la chose publique depuis tout petit mais désabusé par la pratique qu'en font les politiciens, j'utilise les nouveaux outils de communication pour faire distribuer la parole et mobiliser les citoyen-ne-s. Mon but faire prendre conscience à chacun-e du pouvoir que nous avons tou-te-s sur nos vies. Noémie, 31 ans, Chef d'entreprise dans la communication web Après des études de lettres puis de journalisme web, j'ouvre mon agence de community management. Militante dans des associations anti-racistes, je m'investis à Nuit Debout comme un prolongement de mon engagement. Je suis particulièrement sensible aux questions de genre et d'égalité. Killian, 25 ans, auto-entrepreneur dans la communication digitale Formé aux sciences humaines et aux usages du web, je suis convaincu du potentiel révolutionnaire d'internet. Souvent réduit à travailler pour l'adversaire, j'ai trouvé dans l'activisme numérique une opportunité de mettre mon savoir-faire au service du commun. Benjamin Ball, 32 ans Organisateur de communautés, activiste pour de multiples causes, éducation, anti-racisme, logement, agriculture biologique, commerce équitable, démocratie, etc, dans l'objectif de créer des reliances et des points de convergences. Baki Youssoufou Depuis la Sierra Leone jusqu'à la Corrèze en passant par le Niger, ma vie tranquille de gosse de centre-ville n'empêchait pas une vie passée dans les réseaux autogérés et antifa SCALP. Je me suis assagi dans le syndicalisme étudiant pendant 10 ans jusqu'à en devenir un des représentants de mon UFR jusqu'au niveau national. Le digital avec ses possibilités inépuisables m'a renvoyé petit à petit vers mes vieux amours radicaux. J'ai co-créé Active Generation, fondé membre des africtivistes... Je suis passionné par la techno-politique l'utilisation assumé des nouvelles technologies pour augmenter la participation citoyenne en se servant de l'énergie de l'activisme, de l'analyse de la recherche et de la subversion des hackers. J'adore participer à la fabrication des idées. Lorène Bidaud, 30 ans, responsable de projets culturels Convaincue que la culture pouvait changer le monde, j'ai orienté mes études et mon parcours professionnel dans ce domaine avec une seule idée agir sur le quotidien de chacun-e. Alternatiba en fût un bel exemple pour mettre à la vue du plus grand nombre cet autre monde possible. Justice climatique et justice sociale sont au coeur de mes engagements, avec Bizi au Pays basque pour que le "faire" devienne la norme plutôt que le "dire". L'activisme au quotidien est devenu un mode de vie. cherche midi cherche midi À voir également sur Le HuffPost
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