Bidenmenace : pas de gazoduc si la Russie envahit l'Ukraine
L'Ukraine est en train de perdre la guerre du Donbass. Et les Etats-Unis ont perdu la bataille géopolitique puisque la plus grande partie du monde ne soutient pas les sanctions contre la Russie. La guerre d'Ukraine entre donc à nouveau dans une phase dangereuse. L'Ukraine a ciblé des plateformes de forage russes en Mer Noire. La Lituanie entrave les échanges avec Kaliningrad. Les Etats-Unis dénoncent l'hostilité à leur égard de la Russie en Syrie. Et ils continuent à faire pression sur le Kazakhstan, malgré le coup d'Etat manqué du début de l'année, dans l'espoir de créer un nouvel abcès de fixation pour la Russie. A vrai dire, l'intérêt des Américains serait à présent de conseiller à l'Ukraine d'arrêter rapidement la guerre pour que l'armée russe ne puisse pas conquérir Odessa. Mais l'actuelle classe dirigeante américaine ne semble plus capable d'agir selon ses intérêts. Elle continue à espérer, contre tout bon sens, qu'il soit possible d'attirer la Russie dans une guerre d'attrition. A vrai dire, ce sont les Etats-Unis qui bientôt devront choisir s'ils s'obstinent à se battre par procuration en Ukraine alors que le Moyen-Orient leur échappe et les tensions avec la Chine se multiplient. L’Inde ne pourrait pas rompre avec Moscou sans mettre en danger son appareil de défenseUtile rappel quand on se demande pourquoi l’Inde n’a pas rejoint le groupe des pays sanctionnant la Russie Le fait que la [Russie] soit souvent accusée de fournir à l’Inde le savoir-faire nécessaire à la production d’armes nucléaires montre à quel point l’Inde est un partenaire stratégique de premier plan pour la Russie. Même si ce n’est pas vrai et s’il est très improbable que la Russie et l’Inde parlent ouvertement d’un sujet aussi sensible, il existe néanmoins des dizaines d’autres exemples de transferts de technologies militaires soviétiques et russes d’une importance capitale, sans lesquels il est pratiquement impossible d’imaginer l’Inde comme une grande puissance de notre départ, au lendemain de sa déclaration d’indépendance, l’Inde était tributaire de l’Occident politique, presque uniquement du Royaume-Uni, pour l’acquisition d’armes. Le pays n’a jamais été correctement industrialisé pendant le règne colonial britannique, ce qui a entraîné une dépendance plutôt dangereuse à l’égard de l’importation d’armes en provenance de l’Occident de plus en plus pro-pakistanais. Heureusement, cette dépendance s’est atténuée grâce à la Russie, car l’Inde a commencé à importer la plupart de ses armes de l’Union soviétique de l’époque à la fin des années 1960. La Russie est alors devenue le principal partenaire du géant asiatique en matière de défense, un état de fait qui prévaut encore aujourd’hui. En termes de systèmes d’armes de base et sophistiqués, la Russie a fourni certaines des plateformes d’armes les plus sensibles et les plus importantes dont l’Inde a eu besoin de temps à autre, notamment des fusils d’assaut avancés, des chars, des roquettes, des avions de chasse, des missiles avancés et même des sous-marins nucléaires et des flotte blindée et mécanisée de l’Inde est presque entièrement de fabrication russe, à l’exception de deux régiments de chars indigènes Arjun. Les nombreuses variantes des chars T-72/T-90 et les modifications des véhicules BMP APC/IFV sont toutes de fabrication ou de conception russe. Il en va de même pour les principaux systèmes de roquettes de l’Inde, le BM-30 “Smerch” et le BM-21 “Grad”. Sans parler des armes légères, où la Russie domine depuis des décennies. Alors que le fusil INSAS indien, bien intentionné mais malheureusement en difficulté, est progressivement abandonné, l’Inde et la Russie ont également signé un accord pour la fabrication conjointe en Inde de fusils AK-203 version hautement modernisée de l’indémodable AK-47 russe.Outre le fait que presque tous ses missiles navals sont d’origine russe, la marine indienne exploite également de nombreux navires de fabrication russe, en particulier des corvettes et des destroyers à missiles. Les destroyers de classe Rajput sont des destroyers modifiés de classe Kashin fabriqués à l’époque soviétique, tandis que le chantier naval russe Yantar a lancé les frégates avancées de classe Talwar en 2021. L’Inde continue d’exploiter huit sous-marins avancés de classe Kilo achetés à la Russie, qui constituent l’essentiel de la flotte de sous-marins conventionnels de l’Inde. Par ailleurs, les seuls chasseurs de la marine indienne sont 45 MiG-29K, qui sont exploités à partir de son unique porte-avions, INS Vikramaditya, également d’origine russe. L’Inde exploite également les hélicoptères russes Kamov de lutte anti-sous-marine. Depuis des années, le géant asiatique loue la série Chakra de sous-marins d’attaque à propulsion nucléaire russes SSN pour former les équipages de sa propre flotte de sous-marins lanceurs d’engins SSBN.Si l’Indian Air Force IAF a acquis un certain nombre de systèmes français et israéliens, la majorité de ses équipements, y compris les chasseurs et les missiles, sont toujours d’origine russe. Cela inclut les avions de combat Sukhoi Su-30 MKI, les plus lourds de l’IAF, qui constituent près de la moitié de ses escadrons 14 sur 30. Il y a aussi les chasseurs MiG-29UPG et MiG-21, les avions de transport lourd IL-76 et les avions-citernes IL-78. L’Inde a également converti deux IL-76 en plateformes AWACS Airborne Warning And Control Systems.Naturellement, un tel pourcentage de jets russes signifie également que l’IAF utilise de nombreux missiles russes, notamment les missiles air-air R-77, R-37 et R-73, les missiles air-surface Kh-59, Kh-35 et Kh-31, ainsi que la série de bombes à guidage laser KAB. L’IAF exploite également des hélicoptères multirôles Mi-17, Mi-35 d’attaque et Mi-26 de transport lourd de fabrication russe. L’IAF utilise également le désormais légendaire S-400, dont les livraisons ont commencé en décembre de l’année dernière, en plus de nombreux autres systèmes de défense aérienne d’origine diverses estimations, les systèmes d’origine russe représentent environ 85 % de l’imposante armée indienne. Bien que l’Inde ait commencé à diversifier ses achats d’armes, la Russie reste au premier plan. Cette coopération porte également sur les technologies hypersoniques. Ainsi, BrahMos Aerospace, une coentreprise indo-russe de production de missiles, a commencé les essais intensifs du très attendu missile hypersonique BrahMos Mach 6, le missile devrait être au moins deux fois plus rapide que le précédent missile de croisière supersonique BrahMos. Même si le missile est officiellement prévu pour avoir une portée de 600 km, les experts suggèrent que le BrahMos II atteindra Mach 8 et une portée de 1000 km. Principalement basé sur le missile hypersonique russe Zircon, le premier missile à statoréacteur statoréacteur à combustion supersonique réussi au monde, le BrahMos II devrait donner à l’Inde une capacité inégalée, non seulement dans le Sud, mais aussi par rapport à l’Occident politique, où d’éminents généraux américains admettent désormais que la Russie est loin devant en matière de technologie manière générale, je recommande le site infobrics où a été publié cet article La Chine et la Russie renforcent leurs liens au moment où l'OTAN a invité le Japon et la Corée du Sud au sommet de l'Alliance Atlantique fin juin 2022 Voici le premier tiers du discours du président chinois, qui est intervenu par vidéo au sommet économique de Saint Pétersbourg “Je suis ravi d’avoir l’occasion de m’adresser à la session plénière du 25e Forum économique international de Saint-Pétersbourg, auquel j’ai assisté en personne il y a trois février de cette année, le président Poutine s’est rendu en Chine et a assisté à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’hiver à Pékin. Nous avons eu un échange de vues approfondi, à la suite duquel nous avons conclu un accord essentiel sur l’élargissement de notre coopération pratique globale et la mise en œuvre du concept de gouvernance mondiale fondé sur des consultations, une participation et une utilisation coopération entre la Chine et la Russie progresse actuellement dans tous les domaines. Nos échanges bilatéraux ont atteint 65,8 milliards de dollars au cours des cinq premiers mois de cette année. Nous pouvons nous attendre à atteindre de nouveaux records d’ici la fin de l’année. C’est la preuve de la grande résilience et du potentiel ingénieux de la coopération monde entre dans une nouvelle période de turbulence et de transformation dans le contexte des changements radicaux en cours et de la pandémie de coronavirus. On observe une tendance évidente à l’antimondialisme, une fracture croissante entre le Sud et le Nord et un affaiblissement des moteurs de coopération dans le domaine du développement, ce qui pourrait plonger l’économie mondiale, qui renaît de manière erratique, dans une profonde récession et créer des défis sans précédent pour la mise en œuvre du programme“. Pas un mot sur la guerre d’Ukraine! Ni dans la suite du discours. Xi Jinping s’était entretenu deux jours plus tôt avec Vladimir Poutine le 15 juin. C’était leur premier entretien depuis le 25 février. On appréciera la différence de comportement entre Xi Jinping et Emmanuel Macron. Bhadrakumar propose une analyse complète de la conversation entre les deux hommes, fondée, entre autres choses, sur le croisement entre le compte-rendu chinois et le compte-rendu russe de l’entretien c’est nous qui soulignons certains passages “Le modèle le plus animé de la “guerre de l’information” menée ces derniers temps par l’Occident contre la Russie est peut-être sa projection déformée de la relation Chine-Russie dans le contexte de la crise ukrainienne. Cette entreprise douteuse a des implications pratiques pour la “fin de partie” en Ukraine, les efforts de l’Occident pour “effacer” la Russie et la lutte des États-Unis avec la Chine – et surtout, elle est lourde de conséquences pour l’ordre mondial Kissinger, qui est à l’origine de l’hypothèse du triangle États-Unis-Russie-Chine dans l’histoire de la guerre froide, a récemment lancé l’idée d’invoquer le spectre d’une “alliance permanente” entre la Russie et la Chine pour infliger une thérapie de choc au public occidental qui cherche à isoler la Russie de l’Europe. Kissinger a conseillé à Kiev de faire des concessions territoriales à Moscou. La pertinence de l’hypothèse de Kissinger est discutable aujourd’hui et, peut-être, faut-il trouver une raison bien plus importante pour expliquer le caractère d’époque de la relation Chine-Russie, qui est à un niveau historiquement est clair que ni la Chine ni la Russie ne cherchent à s’allier et que leur relation n’est certainement pas de la nature d’une alliance classique mais, paradoxalement, elle va aussi bien au-delà de la portée définissable d’une alliance. C’est ce qui ressort clairement du document publié lors de la visite du président russe Vladimir Poutine à Pékin en février, intitulé “Déclaration conjointe de la Fédération de Russie et de la République populaire de Chine sur les relations internationales à l’aube d’une nouvelle ère et le développement durable mondial”.Dans un tel contexte, la conversation entre Poutine et le président chinois Xi Jinping le 15 juin devrait disperser de manière concluante la guerre de l’information menée par l’Occident. Xi Jinping a choisi son anniversaire pour passer cet appel, témoignant ainsi de l’amitié profonde qui lie les deux dirigeants depuis plus d’une décennie et qui offre non seulement une base solide à la relation, mais aussi une grande stabilité, compte tenu de la nature des deux systèmes politiques et de l'”alchimie” de leur art politique. La centralité de ce facteur singulier est soit délibérément obscurcie, soit mal comprise dans les discours de l’ les comptes rendus de la conversation téléphonique du 15 juin ici et ici, les points saillants suivants sont à noter Au niveau le plus évident, les deux dirigeants ont souligné sans aucun doute que le partenariat stratégique Chine-Russie, caractérisé par un haut degré de confiance, n’est pas ébranlé par les événements actuels ou par les turbulences et l’incertitude de la situation internationale. La Chine et la Russie restent déterminées à se soutenir mutuellement sur les questions concernant les intérêts fondamentaux de l’autre partie et les questions d’intérêt primordial, telles que la souveraineté et la sécurité. Le communiqué de presse chinois a souligné le soutien de M. Poutine à la Chine sur Taïwan, Hong Kong et le Xinjiang. Les efforts déployés par l’Occident pour mettre de la distance dans le partenariat Chine-Russie restent vains. En dépit des sanctions occidentales contre la Russie, la coopération commerciale et économique entre la Chine et la Russie a le vent en poupe et est prête à progresser régulièrement. La Chine est disposée à favoriser le développement régulier et à long terme de la coopération bilatérale pratique, malgré les sanctions occidentales contre la Russie. En ce qui concerne la “question de l’Ukraine”, la Chine évalue la situation à la fois dans son contexte historique et en fonction des mérites de la question et cherche un règlement approprié de manière responsable. Dans un changement rhétorique significatif, il n’y a eu aucune référence aux questions de souveraineté et d’intégrité territoriale ou à la “guerre” ou au cessez-le-feu, etc. De manière générale, plus de 100 jours après le début de la guerre en Ukraine, Xi s’est concentré sur son soutien à la Russie. Le grand message est que les événements en Ukraine n’ont pas entamé l’engagement fondamental de Xi envers le partenariat sino-russe. En fin de compte, la Chine réaffirme sa vision de la Russie telle qu’elle est exposée dans la déclaration conjointe du 4 février. Il convient de noter que lappel de Xi a été lancé peu de temps avant un sommet européen destiné à faire preuve de solidarité avec l’Ukraine et, également, alors que le compte à rebours commence pour un sommet de l’OTAN à la fin de ce mois, qui devrait approuver un nouveau “concept stratégique” qui renforcera la vigilance à l’égard de la Russie et mentionnera également pour la première fois les défis potentiels de l’alliance provenant de la Chine. Les dirigeants du Japon et de la Corée du Sud participeront pour la première fois au sommet de l’ message clé est que la Chine et la Russie n’ont pas d’autre choix que de résister ensemble à la tentative de l’OTAN de les affaiblir radicalement, et ceci par une coordination stratégique étroite, et de maintenir l’équilibre de la situation stratégique mondiale. En effet, la patrouille aérienne conjointe de 13 heures effectuée fin mai par une force opérationnelle de bombardiers stratégiques russes et chinois au-dessus de la mer du Japon et de la mer de Chine orientale, en plein conflit ukrainien, est fait que Tokyo ait, du jour au lendemain, insufflé de la vie au différend sur l'”occupation” russe des îles Kouriles, au moment même où Moscou est impliqué dans un conflit sur le front occidental, mettrait la Russie et la Chine sur la même longueur d’onde en ce qui concerne la montée en puissance du militarisme japonais, avec le soutien et les encouragements des États-Unis, en tant que nouveau facteur en l’ensemble, l’appel de Xi Jinping et l’expression et la démonstration véhémentes du soutien et de la compréhension de la Chine arrivent à un moment où Poutine en a le plus besoin. Le compte-rendu du Kremlin indique explicitement “Il a été convenu d’élargir la coopération dans les domaines de l’énergie, de la finance, de l’industrie manufacturière, des transports et d’autres domaines, en tenant compte de la situation économique mondiale qui s’est compliquée en raison de la politique illégitime de sanctions menée par l’Occident. La poursuite du développement des liens militaires et de défense a également été évoquée.”Pour emprunter les mots peu diplomatiques de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, Xi a peut-être infligé “un dommage majeur à la réputation de la Chine” en Occident. De toute évidence, Xi n’a pas tenu compte des avertissements répétés des responsables américains selon lesquels les “sanctions de l’enfer” destinées à affaiblir la Russie toucheraient également la Chine si Pékin apportait son soutien à Moscou. Curieusement, Xi a relancé le partenariat Chine-Russie alors que les responsables de l’administration Biden répandent ces derniers temps l’idée d’un “dégel” dans les relations entre les États-Unis et la la suite de la rencontre de lundi {13 juin] entre Yang Jiechi, membre du Politburo du PCC, et Jake Sullivan, conseiller de Biden pour la sécurité nationale, à Luxembourg, la Maison Blanche a qualifié la discussion de “franche, substantielle et productive”, tandis que le communiqué de presse chinois était sensiblement circonspect ” Les États-Unis doivent placer la Chine dans la bonne perspective stratégique, faire le bon choix et traduire les remarques du président Biden en actions concrètes les États-Unis ne cherchent pas à mener une nouvelle guerre froide avec la Chine ; ils ne visent pas à changer le système chinois ; la revitalisation de leurs alliances ne vise pas la Chine ; les États-Unis ne soutiennent pas ” l’indépendance de Taïwan ” ; et ils n’ont pas l’intention de chercher un conflit avec la Chine. Les États-Unis doivent travailler avec la Chine dans la même direction pour mettre en œuvre sérieusement l’important consensus atteint par les deux chefs d’État.”M. Yang a averti que “la question de Taïwan concerne le fondement politique des relations entre la Chine et les États-Unis, et si elle n’est pas traitée correctement, elle aura un impact subversif. Non seulement ce risque existe, mais il va continuer à augmenter.” Le compte rendu chinois a décrit la discussion comme “une communication et des échanges francs, approfondis et constructifs.”L’appel de Xi à Poutine a eu lieu deux jours plus tard“. Le célèbre journaliste Tucker Carlson ridiculise le "c'est la faute à la Russie" permanent de Joe Biden Alors que les Etats-Unis se débattent avec le chaos diplomatique qu’ils ont créé, Tucker Carlson, le très respecté éditorialiste de Fox News, a donné le signal de la charge contre un président qui ne cesse de jouer l’air de “C’est la faute à Poutine”. Extraits de la transcription de son émission du 16 juin dernier. Un régal d’ironie ” … Eh bien, vous pourriez commencer à penser que Joe Biden a quelque chose à voir avec la hausse des prix de l’essence, car lorsque vous limitez l’offre de quelque chose, lorsque vous en avez moins, cela coûte plus cher, comme le pétrole, par exemple. Il s’agit d’un principe connu des économistes professionnels d’élite sous le nom d’offre et de demande. Moins de forage donne une essence plus pourriez conclure cela, mais vous auriez tort. En fait, si vous croyez cela, vous êtes un idiot, vous pensez probablement encore qu’Hillary Clinton a perdu l’élection présidentielle de 2016. Vous êtes naïf, vous êtes crédule. Vous êtes une personne stupide. La vérité est bien plus évidente. Les prix de l’essence sont élevés en ce moment parce que Vladimir Poutine les a rendus élevés. Comment Poutine a-t-il fait ça ?C’est simple. Depuis son repaire dans une chambre de torture au fond de la prison de Loubianka à Moscou, entouré de bouteilles de vodka vides et des têtes coupées de ses ennemis, Poutine a signé un décret augmentant le prix de l’essence sans plomb et du diesel aux États-Unis. Et aussi, pendant qu’il y était, le prix du chou-fleur, … des pièces de plomberie et des tacos de poisson ainsi qu’un tas d’autres choses que vous achetez, en fait, de tout ce que vous achetez. Vladimir Poutine a causé à lui seul l’inflation, les prix élevés de l’essence. Il l’a fait exprès, tout comme il a fait élire son complice orange à la présidence des États-Unis, il y a cinq ans. C’est Poutine qui a fait l’a-t-il fait ? Comme si vous aviez besoin de le demander. Poutine a fait ça parce qu’il déteste nos libertés. C’est pourquoi les libertés que Joe Biden nous a données, Poutine veut nous les enlever, comme Joe Biden lui-même l’a écrit dans une lettre aujourd’hui, en réprimandant les compagnies pétrolières pour ne pas avoir vendu plus de pétrole. “Nous vivons avec les défis économiques que les actions de Vladimir Poutine ont créés pour les familles américaines”, a-t-il déclaré. C’est encore ce satané Biden a un plan pour lutter contre la pénurie de gaz en fût des Slaves. Il va imposer une nouvelle taxe sur l’énergie. Les prix de l’essence baisseront parce que lorsque vous faites en sorte qu’une chose coûte plus cher, elle est en fait moins chère à acheter. Est-ce que c’est clair ?Oh, Jimmy Carter, un autre grand leader démocrate défait par les Russes dans son cas, Leonid Brejnev. En 1980. Il s’avère que Jimmy Carter a fait à peu près ce que Joe Biden veut faire. Il a imposé une taxe de 70% sur la valeur des ventes de pétrole dépassant 12,80$. Et que s’est-il passé ensuite ?Eh bien, nous le savons, parce que … le Service de la Recherche du Congrès des Etats-Unis a découvert que cette taxe a eu pour effet de paralyser la production pétrolière nationale …. Notre dépendance au pétrole étranger, quant à elle, a augmenté de 13%. Cela n’a pas vraiment de sens si l’objectif de la taxe était uniquement d’empêcher les “prix abusifs”. Comment cela s’est-il produit ?Eh bien, en 2018, un article publié dans la revue Economic Policy a répondu à cette question. Le Journal a constaté que l’augmentation des taxes sur le pétrole a pour effet de décourager les producteurs de pétrole de prendre des risques sur la production de pétrole. … Et ne pensez pas à l’énergie nucléaire pour augmenter la production nationale d’énergie. C’est ce que Poutine veut que vous fassiez. Donc pour garder notre démocratie en sécurité, on ne peut rien faire qui aide Poutine. Nous devrions vous le dire. Je sais que les officiels de la Maison Blanche sont d’accord avec cela, aussi logique que cela puisse paraître, selon Bloomberg, “les officiels de Biden ont exprimé en privé leur inquiétude sur le fait que plutôt que de dissuader le Kremlin comme prévu, les sanctions ont au contraire exacerbé l’inflation, aggravé l’insécurité alimentaire, et poussé les Russes ordinaires, punis plus que Poutine ou ses alliés.” Maintenant, vous pourriez être tenté d’être d’accord avec ces fonctionnaires de Biden. Si vous regardez le graphique qui montre que la valeur du rouble, comme nous vous l’avons dit, mesurée par rapport au dollar, monte en flèche. Donc nous avons aidé Poutine avec les sanctions. Biden a promis que nous allions, je cite, “réduire le rouble en miettes” ruble to rubble en anglais. Coupant la Russie du reste du monde. C’est peut-être pour ça que la nourriture est si camions remplis de nourriture sont refoulés à la frontière américano-canadienne pour que la viande n’arrive pas aux usines de transformation. Pourquoi cela se produit-il ? Eh bien, c’est à cause des mandats de vaccination COVID, qui sont toujours appliqués par l’administration Biden. Et ils exigent que les conducteurs non vaccinés soient mis en quarantaine pendant 14 jours parce que c’est très dangereux. Et beaucoup de conducteurs ne peuvent pas faire ça. Et d’ailleurs, s’ils le faisaient, le contenu de leurs camions se pourriez donc penser que cela a quelque chose à voir avec les problèmes de la chaîne d’approvisionnement qui vous empêchent de remplir votre panier d’épicerie. Nous n’allons pas entendre cela dans les médias. Et vous savez pourquoi ? Parce que, comme Big Meat, comme Big Oil, comme Vladimir Poutine lui-même, selon Joe Biden, les médias ne lui donnent pas un traitement n’est de la faute de Joe Biden – ni le prix de l’essence, ni le prix des médias, ni le prix de la viande, ni la couverture de l’inflation par les médias. Rien de tout cela. Vous savez de qui c’est la faute ? C’est la faute de Vladimir Poutine. Selon Sandy Cortez, en fait, vous pouvez aussi blâmer les suprémacistes blancs, et c’est peut-être exactement la même chose que seule chose que nous pouvons dire avec certitude à ce stade, c’est que les personnes qui ont tout fait foirer ne sont en aucun cas responsables de ce qu’elles ont fait légalement ou moralement. En fait, ils sont irréprochables. Nous pouvons donc vous dire cela avec confiance, car la seule chose dont nous sommes sûrs, c’est que Vladimir Poutine l’a traître. Il l’a fait.” L'ambassadeur de Russie aux Etats-Unis tend la main aux Etats-Unis pour entamer des négociations sur l'ensemble des sujets stratégiques, y compris l'Ukraine + L’ambassadeur russe aux Etats-Unis a donné un entretien à Newsweek “L’ambassadeur de Moscou à Washington, Anatoly Antonov, a déclaré à Newsweek que “la situation en Ukraine est extrêmement tendue”, près de quatre mois après que le président russe Vladimir Poutine a déclenché une guerre contre le pays voisin à la suite de l’échec des négociations sur la sécurité entre le Kremlin et l’ a averti M. Antonov, “de plus en plus de pays sont impliqués dans le cycle des événements en Europe de l’Est” et “les conséquences négatives de la crise de la sécurité européenne, sous diverses formes, se propagent rapidement dans le monde entier.”Il a averti que la situation pourrait se transformer en un conflit impliquant les nations qui possèdent la grande majorité des armes nucléaires du monde.“La myopie des États-Unis est également visible dans les circonstances actuelles”, a déclaré M. Antonov. “Poussées par le désir d’infliger une défaite stratégique à la Russie, les élites locales font monter les enchères dans l’escalade des tensions en abondant le régime de Kiev en armes. N’est-il pas clair que c’est la voie d’une confrontation militaire directe entre les grandes puissances nucléaires, lourde de conséquences imprévisibles ?”Et sur le front économique, il a déclaré que les vulnérabilités de Washington apparaissaient déjà à un moment où l’inflation américaine a grimpé en flèche pour atteindre son plus haut niveau depuis quatre décennies et où le prix moyen national de l’essence a dépassé le chiffre sans précédent de 5 dollars le gallon.“Les plans visant à étrangler notre pays avec des sanctions ne fonctionnent pas non plus”, a déclaré M. Antonov, “L’imposition irréfléchie de restrictions ne fait qu’aggraver la situation de l’économie américaine. Il s’avère donc que dans une fièvre anti-russe, Washington est prêt à se tirer une balle dans la jambe et à danser simultanément. Cela semble absurde”.“En outre, a-t-il ajouté, les actions des Américains n’affecteront pas la détermination des forces armées russes à remplir les tâches fixées lors de l’opération militaire spéciale pour protéger la population du Donbass, ainsi que la dénazification et la démilitarisation de l’Ukraine.”“La nature globale de ce qui se passe montre que les racines du conflit actuel ne sont pas en Ukraine”, a déclaré Antonov. “Il s’agit du déclin de l’ordre mondial américano-centré. Pour être plus précis, l’effondrement des tentatives des États-Unis de maintenir un rôle hégémonique et de s’autoproclamer étoile directrice’ pour tous les pays.”Il a fait valoir que cette approche remonte aux premiers jours de la Fédération de Russie déclarée sur les décombres de l’Union soviétique. Il a accusé “la classe dirigeante américaine” d’avoir “fait une série de graves erreurs de calcul” au lendemain de la guerre froide, qui “se résument à une seule chose ignorer le rôle de notre pays en tant que pilier de l’ordre mondial”.Et si M. Antonov a affirmé que la Russie ne s’est renforcée qu’après les crises qui ont suivi, il a déclaré que “les autorités américaines ont décidé de contester ce fait évident et ont commencé à nous imposer de manière agressive des valeurs “démocratiques”, même si ces idéaux sont souvent étrangers aux Russes”. Dans cette quête, il a déclaré que les dirigeants américains “ont commencé à s’immiscer dans la politique intérieure de la Russie et à poser des menaces pour notre sécurité nationale, en se rapprochant de plus en plus de nos frontières.”Alors que l’Occident s’efforce d’infliger suffisamment de douleur à la Russie pour convaincre Poutine de faire marche arrière sur l’Ukraine, Antonov a déclaré qu'”il est temps de se faire à l’idée de l’impossibilité de construire un ordre mondial dans lequel tous les pays doivent suivre les instructions de Washington, et où les valeurs occidentales sont au-dessus des lois.”Ce nouvel ordre, a-t-il dit, serait fondé sur le “polycentrisme”, avec des rôles croissants pour les pays d’Afrique, d’Amérique latine, du Moyen-Orient et d’autres parties de l’Asie. De nombreux pays de ces régions n’ont pas partagé l’appétit de l’Occident de s’attaquer à la Russie et ont plutôt adopté des positions plus Antonov a également déclaré que le Conseil de sécurité de l’ONU jouerait un rôle central dans ce domaine, ses membres permanents étant de plus en plus divisés entre un camp occidental composé de la France, du Royaume-Uni et des États-Unis et un camp oriental composé de la Chine et de la Russie. Cette division a rendu impossible tout progrès sur les grandes questions internationales telles que l’Ukraine, en raison des pouvoirs de veto ce qui concerne la politique américaine à l’égard de la Russie, M. Antonov a déclaré que Washington “devrait cesser de se faire des illusions sur la “défaite” de notre pays” et doit au contraire “reconnaître qu’il n’y a pas d’alternative à des relations pragmatiques avec la Russie”.“Nous sommes de grandes puissances qui portent une responsabilité particulière pour la paix sur Terre. C’est de nous que dépend la stabilité stratégique”, a-t-il affirmé. “Sans les efforts coordonnés des deux États, il est impossible de résoudre les problèmes du terrorisme, de la prolifération des armes de destruction massive, du changement climatique, de la lutte contre les épidémies et de la sécurité alimentaire. Nous sommes condamnés à coopérer.”Et l’Ukraine, a-t-il ajouté, sera “un test décisif qui montrera la volonté des États occidentaux de prendre en compte les préoccupations russes.” À cet égard, “la poursuite des progrès vers la stabilisation de la sécurité européenne dépendra de l’issue du processus de règlement de la crise en Ukraine”, selon Antonov.“Aujourd’hui, en fait, a déclaré Antonov, la question est de savoir si nous pouvons construire ensemble un ordre mondial multipolaire fondé sur l’égalité et prenant en compte les intérêts de tous les États, indépendamment de leur puissance et de leur potentiel.”Et bien qu’il ait averti que la menace d’une confrontation plus large restait réelle, il a déclaré que ce n’était dans l’intérêt d’aucune partie, en particulier compte tenu des effets de second ordre tentaculaires du conflit actuel“. Les Occidentaux inventent des prétextes pour ne pas négocier - et jouent avec le feu + En Syrie, la Russie a prévenu à l’avance les Etats-Unis du bombardement qu’elle allait effectuer sur la base d’Al-Tahrif contre des rebelles ayant attaqué l’armée syrienne rebelles soutenus par les Etats-Unis. Mais les médias américains ont présenté cette frappe comme une provocation de la Russie. De fait, on peut imaginer que la frappe était un avertissement aux Etats-Unis, mais dans un sens subtil montrer à Washington que partout dans le monde la Russie est capable de frapper ceux à qui les Etats-Unis font faire la guerre; suggérer aux Américains, aussi qu’ils ne pourront pas continuer à se battre – par procuration ou non – à la fois en Europe, au Moyen-Orient et dans le détroit de Taïwan. + De fait, la capacité américaine à maîtriser la situation au Proche et Moyen-Orient est de plus en plus remise en cause. Alors que Mohammed ben Salman se rendait au sommet économique de Saint Pétersbourg, le programme de la visite de Joe Biden en Arabie Saoudite, prévue pour le mois de juillet, n’a toujours pas fait l’objet d’un accord entre les deux Etats. Ce qui n’empêche pas Joe Biden de mettre de l’huile sur le feu en accusant publiquement MBS d’avoir commandité l’assassinat de Jamal Kashoggi. Quant à la négociation sur le développement du nucléaire civil iranien, il piétine. + Le nouveau Chef d’Etat-major des Armées britannique, le Général Patrick Sanders, écrit dans son premier courrier à la troupe qu’il entendait “accélérer la mobilisation et la modernisation de l’armée pour renforcer l’OTAN et priver la Russie de la possibilité d’occuper davantage l’Europe… nous sommes la génération qui doit préparer l’armée à combattre en Europe une fois de plus”. Un moyen de réclamer une augmentation du budget de la Défense tant que le russophobe hystérique nommé quelle ironie! Boris est à Downing Street. + Boris Johnson s’est précipité à Kiev le vendredi 17 juin, au lendemain de la visite de Manu, Olaf et Mario à Zelenski, visite au cours de laquelle ils avaient conseillé au président ukrainien de reprendre les négociations avec la Russie. + On voit très clairement se dessiner deux camps chez les Occidentaux les pétochards Macron, Scholz, Draghi, qui ont eu peur de s’opposer aux Etats-Unis et ont aujourd’hui encore plus peur des conséquences de la politique de sanction; les idéologues comme Johnson ou les dirigeants polonais ou ceux des Pays Baltes, qui poussent à une guerre avec la Russie. + La Lituanie bloque depuis samedi 19 juin le transit des marchandises entre Kaliningrad et le reste de la ferroviaire national de la Lituanie a interdit la circulation des marchandises sanctionnées entre la région et le reste de la Russie, citant les instructions de la Commission a déclaré que cette mesure était illégale au regard du droit international et a convoqué l’ambassadeur lituanien. Mardi, le ministère des affaires étrangères a convoqué l’envoyé de l’UE en Russie, Markus Ederer. “Nous avons exigé que le fonctionnement normal du transit de Kaliningrad soit rétabli immédiatement”, a déclaré le ministère dans un Borrell, le représentant de l’UE pour la politique étrangère, a défendu Vilnius lundi 20 juin, affirmant qu’elle agissait conformément au mécanisme de sanctions de l’Union. “La Lituanie n’est pas coupable, elle n’applique pas de sanctions nationales”, a-t-il déclaré aux journalistes.“Bien sûr, la Russie répondra aux actions hostiles. Des mesures appropriées sont en cours d’élaboration et seront adoptées dans un avenir proche”, a déclaré Nikolaï Patrouchev, président du Conseil National de Sécurité russe aux journalistes lors d’un voyage à Kaliningrad a ajouté que les conséquences de la réponse de Moscou “auront un impact négatif sérieux sur le peuple lituanien.” Le duc de Richelieu 1766-1822, gouverneur de la Nouvelle Russie de 1803 à 1814, a sa statue à Odessa face au port 5 commentaires Merci pour cette excellente et éclairante analyse. La situation est alarmante. Les américains et leurs états vassaux finiront-ils par attendre raison ? Merci M. E. Husson pour cet article rempli d’informations pertinentes mises en perspectives. Je relève cette phrase en particulier, elle mérite un moment de réflexion. “”Josep Borrell, le représentant de l’UE pour la politique étrangère, a défendu Vilnius lundi 20 juin, affirmant qu’elle agissait conformément au mécanisme de sanctions de l’Union. “La Lituanie n’est pas coupable, elle n’applique pas de sanctions nationales”, a-t-il déclaré aux journalistes.”” Donc un fonctionnaire haut gardé de l’UE parle au nom de la Lituanie en la jugeant de haut comme si Vilnius était un enfant mineur irresponsable, elle n’est pas coupable’. La Lituanie, sous-fifre, applique comme un bon petit soldat de l’UE des ordres venus d’en-haut. La nation lituanienne décide d’appliquer des ordres qu’elle est obligée de faire appliquer !!! Et si on remettait la Lituanie sous le joug soviétique au lieu du joug EUrratique si décadent, woke et lgbt déconstruit ? Il serait intéressant de savoir s’il existe en Lituanie des catholiques éveillés, réveillés’ qui sont opposés à cette sujétion déplaisante et mortelle de leur nation à Bruxelles-Borell. Le discours officiel de Biden ici rapporté est absolument délirant. Il est hallucinant de voir la nation la plus développée du monde sombrer comme le Titanic, par orgueil et en niant la réalité. Le Titanic était insubmersible. Il ne possédait que des canots de sauvetage aux normes anciennes. Vive le progressisme woke! En avant sans retour possible! La Lituanie, et l’UE par la même occasion, font une belle boulette légale. Quand un pays A doit passer par un pays B pour aller à un pays C, B peut appliquer les sanctions à ses risques. Par contre, aller de A à A ce que sont la Russie et Kaliningrad en passant par B, est un transit pur défini par des règles de vérification de continuité, sans plus. B ne peut appliquer des sanctions sur un trafic domestique bordé par des accords. Il me semble que la Russie va fortement réagir. Mais bon, comme disait l’autre, la Lituanie, combien de divisions? Et est-ce que l’OTAN ira sur place s’interposer? Laisser un commentaire Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
LesÉtats d'Europe possédant les plus importantes surfaces forestières (en km²) sont la Russie, la Suède, la Finlande, l' Espagne, et la France. Les pays du continent ayant les plus petites superficies de forêt sont Malte, le Liechtenstein, Andorre, l' Islande, et le Luxembourg. VOIR AUSSI :
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Celapermet de libérer 3 à 5 % de la surface agricole française pour la production alimentaire. Pour gagner en indépendance vis-à-vis de la Russie, l'agriculture paysanne, basée sur une logique d'autonomie, propose des solutions pertinentes sur le plan économique, social et environnemental, qui se révèlent aujourd'hui être aussi des atouts géo-stratégiques majeurs. A

Dirigé par les Romanov, l’Empire russe se développe à partir de Pierre Ier tout au long des XVIIIe et XIXe siècles, il s’agrandit à l’ouest en direction des États baltes, de la Pologne et des Balkans, ainsi qu’au sud Caucase, Asie centrale et à l’est Sibérie. A l'origine 1240 à 1480, les principautés russes étaient assujetties aux tatars mongols. Le Grand-Prince de Moscou Ivan III entreprend dès son accession au trône en 1462 de les unifier sous son égide et d’entamer l’expansion territoriale de la Russie. Comparée au reste de l’Europe occidentale, celle-ci reste faible et arriérée. C’est Pierre le Grand qui, à la fin du XVIIe siècle, façonne la Russie impériale moderne et c'est sous Catherine II et Alexandre Ier que l'Empire russe atteindra son apogée. De la IIIe Rome à l'expansion de la Russie Pendant les siècles de suzeraineté tatare, Moscou resta tournée vers l’est, la Perse et l’Asie centrale. Par ailleurs, les Russes se trouvaient liés à l’Empire byzantin par la foi orthodoxe. Après la chute de Constantino­ple, conquise par les Ottomans en 1453, Moscou fut érigée au rang de troisième Rome. En épousant Zoé, nièce du dernier empereur byzantin, le grand-prince Ivan III adopta l’emblème de l’Empire byzantin, l’aigle à deux têtes. Ivan IV 1533 à 1584 confirma cette association en se faisant couronner tsar dérivé de “césar”, ou empereur en 1547. À sa mort, la superficie du territoire russe avait presque doublé. Il vint à bout des Tatars et étendit la sphère d’influence russe à la Sibé­rie. Toutefois, ses tentatives expansionnistes à l’ouest de la Baltique se heurtèrent à la résistance de la Suède et de la Pologne. Ivan IV restreignit le pouvoir des nobles les boyards et s’empara de leurs terres. Il insti­tua le règne de la terreur, durant lequel ses gardes personnels tuèrent des milliers de boyards, ce qui lui valut le surnom d’Ivan le Terrible. Entre 1604 et 1613, le “temps des Trou­bles” se caractérisa par une guerre civile qui ravagea une grande partie de la Russie occi­dentale. Les conflits prirent fin avec l’acces­sion au trône des Romanov, dynastie qui régna jusqu’en 1917. La population conti­nuait à essaimer vers l’est, le long des fleuves de Sibérie. En 1637, les Russes atteignaient la côte Pacifique. Ils établirent des comptoirs commerciaux, faisant des fourrures le pro­duit d’exportation le plus lucratif du pays. Son immensité, toutefois, ne jouait pas tou­jours en sa faveur Riche en ressources natu­relles, la Russie soufflait d’une pénurie de main-d’œuvre, ainsi que de problèmes de communication et de transport. Pour remé­dier au premier de ces obstacles, on institua le servage les paysans se trouvèrent liés à vie à un même seigneur dans des conditions proches de l’esclavage. Les nobles, pour leur part, devinrent les serfs des tsars. Au cours du XVIe siècle les échanges commerciaux et culturels avec l’Europe prirent de l’ampleur ce qui se traduisit par l’implantation, à Moscou, d’une communauté prospère d’Occidentaux com­posée de marchands, artisans, artistes, intellectuels et membres du clergé. La Russie de Pierre le grand s'ouvre sur l'Occident Le règne de Pierre le Grand 1682-1725 marqua un tournant dans l'histoire de la Russie. Certes, ses trois prédécesseurs avaient déjà introduit des réformes visant à occidentaliser l’Empire, mais Pierre le Grand, quant à lui, tenta de l’ériger au rang de puissance européenne moderne. En 1697 et 1698, il visita la Prusse, les Pays-Bas, l’Angleterre et l’Autriche pour s’initier aux technologies occidentales, notamment en matière de construction navale. De retour dans sa patrie, il réorganisa l’armée. Ensuite, en 1700, il partit en guerre contre la Suède afin de lui arracher un débouché sur la Baltique, où il fonda sa nouvelle capi­tale, Saint-Pétersbourg. A l’Oural, Pierre le Grand établit des fonderies de fer et de cuivre en vue d’exploiter les riches gise­ments de minerai de la région. Il alla jusqu’à modifier la tenue de ses sujets en ordonnant à ses courtisans de se vêtir à l’occidentale et aux nobles de se raser la barbe russe tradi­tionnelle. Quiconque s’y refusait devait s’acquitter d’une amende. Sous son règne, les serfs se virent impo­ser davantage de contraintes, dont les taxes nécessaires au financement de ses grands projets. En outre, nombre d’entre eux furent enrôlés de force à la construction de Saint-Pétersbourg, où des milliers périrent dans des conditions atroces. Pierre le Grand alla jusqu’à étendre le servage aux ouvriers de ses nouvelles usines. L'Empire russe au XVIIIe siècle Au cours du XVIIIe siècle, la Russie connut une lente expansion. Les Ottomans durent céder la Crimée et le sud de l’Ukraine ; Sébastopol tomba en 1783, ouvrant la mer Noire aux commerçants russes. À l’est, les marchands de fourrures sibériens franchi­rent le détroit de Béring jusqu’en Amérique du Nord pour; en 1784, fonder les pre­mières colonies européennes en Alaska. Toutefois, c’est à l’ouest que la Russie annexa le plus vaste territoire. En effet, profitant de l’affaiblissement de la Pologne, elle participa, avec l’Autriche et la Prusse, à son partage entre 1772 et 1795. Puis, à l’issue des guerres napoléoniennes voir pages 146-149, le congrès de Vienne 1815 céda le reste du royaume à la Russie. Nombre de ces acquis vinrent s’ajouter à l’empire sous le règne de Catherine II la Grande, souveraine d’origine allemande. Montée sur le trône en 1762, à la mort de son époux Pierre III, petit-fils de Pierre le Grand, elle gouverna jusqu’en 1796. Régnant en monarque absolu, elle se pas­sionnait également pour les courants artis­tiques de l'époque, tant dans le domaine de la peinture, que dans celui de l’architecture ou de la musique. Sa galerie de peintures est à l’origine de la collection nationale actuelle­ment exposée au musée de l’Ermitage, à Saint-Pétersbourg. Sur son invitation, de nombreux Allemands s’installèrent en Russie, notamment dans les nouvelles régions conquises au nord de la mer noire, ou ils introduisirent des méthodes d’agriculture productives. A l’instar des autres souverains d’Europe, c’est avec inquiétude que Catherine II vit éclater la Révolution de 1789 en France. Tandis que les révolutionnaires s’employaient à diffuser leurs idées dans toute l’Europe, la Russie s’allia à l’Autriche, à l’Espagne, à la Prusse et à la Grande-Bretagne pour déclarer la guerre à la France. En 1796, Paul, fils de Catherine lui succéda sur le trône. Les initiatives excentriques de ce dernier, qui envoya par exemple un régiment de cosaques à la conquête de l’Inde, lui valurent d’être assassiné en 1801. Son fils Alexandre Ier lui succède et s’empare de la Finlande au détriment de la Suède. En 1812, Napoléon envahit la Russie, dont l’immensité lui sera fatale. L’armée française au bord de l’anéantissement dut battre en retraite, poursuivie dans toute l’Europe par le tsar Alexandre et les alliés. En 1814, il fait son entrée à Paris, consacrant la place de la Russie parmi les grands d’Europe. Bibliographie - Histoire de la Russie et de son Empire, de Michel Heller. Tempus, 2015. - Histoire de la Russie D'Ivan le Terrible à Nicolas II - 1547-1917, de Pierre Gonneau. Tallandier, 2016.
Ambassadede France au Tadjikistan. Les voyageurs sont invités à consulter l’Avertissement qui figure dans l’onglet « Sécurité » de la présente fiche. En cas d’urgence pendant les heures de bureau, l’Ambassade de France au Tadjikistan peut être jointe au +992 446 203 300. En cas d’urgence en dehors de ces horaires, veuillez
Publié le 19 avril 2022 à 19h04Source TF1 InfoDes armes "made in USA" sont arrivées lundi aux frontières de l'Ukraine pour être remises à l'armée, a indiqué le elles des canons M777 Howitzer, des pièces d'artillerie de dernière armes pour la bataille du Donbass. Moins de cinq jours après l'officialisation par Joe Biden d'une nouvelle aide militaire à Kiev, les premières cargaisons sont arrivées lundi aux frontières de l'Ukraine. Quatre vols ont atterri des États-Unis, a annoncé un haut responsable du ministère américain de la Défense. Si très peu de détails ont filtré, Washington a néanmoins précisé que ces canons M777 Howitzer étaient désormais entre les mains des forces ukrainiennes. Tout sauf un hasard. En disposant de ces canons, l'armée ukrainienne va bénéficier de pièces d'artillerie de dernière génération. C'est d'ailleurs la première fois que les États-Unis acceptent une telle livraison. Un porte-parole américain a spécifié que des soldats déployés sur le flanc est de l'Otan depuis le début de l'invasion russe commenceront "dans les prochains jours" à former des militaires ukrainiens à leur canons et obus"Ces formations se tiendront en dehors de l'Ukraine", a souligné le Pentagone. "Un petit nombre d'Ukrainiens seront formés aux Howitzer et ils seront ensuite renvoyés dans leur pays pour former leurs collègues", a-t-il expliqué. Même si leur maniement n'est pas fondamentalement différent de celui de l'artillerie dont l'armée ukrainienne est familière, ces canons utilisent des obus de 155 mm, utilisés par les pays de l'Otan, alors que l'Ukraine ne dispose encore que d'obus de 152 mm de fabrication russe. Dans le détail, il s'agit de 18 canons M777 Howitzer, accompagnés de obus de 155 mm. Leur portée ? Entre 25 et 40 km. Ces pièces d'artillerie, utilisées récemment en Afghanistan par les Américains, sont produites depuis 2005. Pesant un peu plus de quatre tonnes, un équipage de huit hommes est nécessaire pour le manœuvrer. Actuellement, outre les Américains, seuls le Canada et l'Australie disposent de ce modèle au sein de leurs aussiSelon le porte-parole du Pentagone, John Kirby, ces 18 canons devraient peser dans la bataille du Donbass. Cette dernière sera différente de celle de Kiev - pour laquelle Joe Biden avait donné des Javelin, une redoutable arme anti-char - car les forces russes sont moins dispersées qu'au début de l'invasion et que le terrain dans l'est du pays est différent. "Cette partie de l'Ukraine ressemble un peu au Kansas, c'est un peu plus plat, un peu plus ouvert" que dans le nord, a-t-il expliqué la semaine dernière. "C'est le genre d'endroit où on peut s'attendre à ce que les Russes utilisent des chars et de l'artillerie lourde pour atteindre leurs objectifs avant d'envoyer les soldats". lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités
Guerreen Ukraine, jour 77 : des femmes de soldats de Marioupol au Vatican, frappes ukrainiennes en Russie

Les cours des principaux contrats sur le blé et le maïs ont vivement reculé ce jeudi 19 août 2021 à Chicago. Sur Euronext, la tendance était aussi à la baisse, tout comme sur les marchés physiques hexagonaux, dans une moindre mesure cependant. Seul le blé échéance septembre expiration le 10 sur Euronext a vivement progressé. Les tensions politiques internationales issues du changement de régime politique en Afghanistan posant la question des relations internationales des grands pays avec ce pays et donc aussi entre eux, le recul net des cours du pétrole au plus bas depuis trois mois qui se poursuit ou encore la robustesse du dollar constituaient autant de facteurs pour la baisse des cours. Les interrogations se poursuivent sur plusieurs estimations de récolte chez les grands pays producteurs et exportateurs, notamment en Russie. Après les 72,5 Mt annoncées par l’USDA contre 85 Mt un mois plus tôt, la Russie maintient un chiffre de 81 Mt alors que le consensus des analystes se fait aujourd’hui autour de 76-77 Mt. EN France, de son côté, l’interprofession des céréales, Intercéréales, a affirmé, ce jeudi 19 août, que la moisson française 2021, encore en cours dans le nord du pays, saura répondre aux besoins des consommateurs français en particulier ». Son président, Jean-François Loiseau, précise aussi que les besoins en céréales des Français seront satisfaits » et que la France restera en 2021-2022 exportatrice nette de céréales ». En France les travaux de moissons en blé se poursuivent ou sont enfin achevés. Les travaux de tests, tri et évaluation des grains commencent et les livraisons sont parfois difficiles, notamment en portuaires qualité des grains, disponibilités des chauffeurs, questionnement sur les mycotoxines…. Le marché intérieur fonctionne au ralenti, les acteurs ne se positionnant que très peu pour le moment et les fabricants d’aliments pour animaux travaillent à la reformulation de leurs produits. Les petits PS ont parfois du mal à trouver des débouchés. Pour le maïs, les opérateurs sont dans l’attente des conclusions du Pro Farmer Tour qui s’achève aujourd’hui et qui donnera ses conclusions quant au potentiel de performance des maïs étatsuniens. Les spécialistes ne s’attendent pas à un rebond des rendements de la céréale par rapport aux autres estimations faites à ce jour. Etat des cultures en France Selon FranceAgriMer, pour la semaine 32 du 10 au 16 août, les conditions de culture bonnes à très bonnes du blé tendre sont stables à 74 % 56 % en 2020. Les récoltes évoluent de 72 % à 91 % des surfaces en place 100 % en 2020. La date médiane de ce stade présente un retard de 11 jours sur la moyenne 5 ans et de 14 jours sur celle de l’année dernière. En blé dur, les conditions de culture bonnes à très bonnes sont stables à 65 % 62 % en 2020. Les récoltes évoluent de 99 % à 100 % 100 % en 2020. La date médiane de ce stade présente un retard de 6 jours sur la moyenne 5 ans et de 7 jours sur celle de l’année dernière. Les conditions de culture bonnes à très bonnes de l’orge de printemps sont stables à 80 % 51 % en 2020. Les récoltes évoluent de 79 % à 97 % des surfaces en place 100 % en 2020. La date médiane de ce stade présente un retard de 7 jours sur le moyenne 5 ans et de 4 jours sur celle de l’année dernière. Enfin, les conditions de culture bonnes à très bonnes du maïs grain sont stables à 91 % 62 % en 2020. Le stade floraison femelle évolue de 97 % à 99 % 100 % en 2020. La date médiane de ce stade présente un retard de 7 jours sur la moyenne 5 ans et de 10 jours sur celle de l’année dernière. Le stade humidité du grain à 50 % débute à 1 % 15 % en 2020. Côté commerce international, l’USDA a communiqué des ventes à l’export de 306 700 t en blé, dans les attentes des analystes, et de 726 500 t en maïs, également dans les attentes. Marchés physiques français du 19 août 2021 base juillet pour les céréales Blé tendre Spécifications Échéance euro/t Variation Rendu Dunkerque 220/11 meunier Récolte 2021 déc. 247,00 N Rendu La Pallice 76/220/11 Récolte 2021 déc. 247,00 N Rendu Rouen 76/220/11 Récolte 2021 déc. 246,00 N Rendu Pontivy/Guingamp fourrager 74 kg/hl base Récolte 2021 déc. 230,00 N Fob Moselle meunier Récolte 2021 déc. 241,00 N Fob Rouen FC Supérieur A2 classe 1 majo. incluses Récolte 2021 août 266,23 N Fob La Pallice FA Supérieur A2 classe 1 majo. incluses Récolte 2021 août 267,93 N Départ Marne BPMF 220 Hagberg Récolte 2021 déc. 245,00 N Départ Sud Côte-d'Or meunier Récolte 2021 déc. 245,00 N Départ Eure/Eure-et-Loir BPMF 76 kg/hl Récolte 2021 déc. 236,00 N Départ Sud-Est meunier Récolte 2021 déc. 245,00-250,00 N Blé dur Spécifications Échéance euro/t Variation Rendu Port La Nouvelle 20% mitadins sans garantie de Hagberg 76 kg/hl Récolte 2021 août-déc. 355,00 N Départ Sud-Est normes semoulières Récolte 2021 août-déc. 340,00-350,00 N Maïs Spécifications Échéance euro/t Variation Rendu Bordeaux Récolte 2020 août-sept. 252,00 N Récolte 2021 217,00 N Rendu La Pallice Récolte 2020 août-sept. 254,00 N Récolte 2021 219,00 N Fob Bordeaux Récolte 2020 août-sept. 257,00 N Récolte 2021 221,00 N Fob Rhin Récolte 2020 août-sept. 270,00 N Récolte 2021 236,00 N Départ Eure-et-Loir/Loiret Récolte 2020 août-sept. 270,50 N Orge fourragère Spécifications Échéance euro/t Variation Rendu Rouen 62-63 kg/hl Récolte 2021 août-sept. 231,00 N Fob Moselle sans limit. d'orgettes 61/62 kg/hl Récolte 2021 août-sept. 220,00 N Départ Eure/Eure-et-Loir 63 kg/hl mini Récolte 2021 août-sept. 218,00 N Départ Sud Côte-d'Or 60-61 kg/hl Récolte 2021 août-sept. 219,00 N Départ Sud-Est 62/63 kg/hl Récolte 2021 août-sept. 210,00-215,00 N Orge de brasserie - Hiver 6 rangs Spécifications Échéance euro/t Variation Fob Creil Etincel 11,5% max Port 500 t Récolte 2021 241,00 N Orge de brasserie - Printemps Spécifications Échéance euro/t Variation Fob Creil Planet 11,5% max Port 500 t Récolte 2021 260,00 N Pois Spécifications Échéance euro/t Variation Départ Marne fourrager Récolte 2021 août-sept. 280,00 N Départ Aisne fourrager Récolte 2021 août-déc. 280,00 N Départ Aube fourrager Récolte 2021 août-déc. 290,00 N Cotations des issues de meunerie du 17 août 2021 Son fin blé tendre Spécifications Échéance euro/t Variation Départ Ile-de-France dispo. 152,00-154,00 A pellets dispo. 162,00-164,00 A Remoulage demi-blanc Spécifications Échéance euro/t Variation Départ Ile-de-France dispo. 169,00-171,00 A Farine basse Spécifications Échéance euro/t Variation Départ Ile-de-France dispo. 214,00-216,00 A Cotations commerciales des produits laitiers du 19 août 2021 Poudre de lait Spécifications Échéance euro/t Variation Départ NBPL à 60 jours 5% H BT vrac dispo. 2400,00 N Poudre de lactosérum Spécifications Échéance euro/t Variation Départ NBPL à 60 jours, BILA pH 6 vrac dispo. 930,00 N Evolution dollar / euro du 19 août 2021 Devise Valeur à la clôture 1 dollar US 0,8550 euro 1 euro 1,1696 dollar Clôture du marché à terme de Chicago du 19 août 2021 Clôture du marché à terme Euronext du 19 août 2021 Matières premières Clôture Chicago Blé 727,50 cents/bois. Maïs 550,00 cents/bois. Ethanol 2,220 $/gallon Blé meunier Euronext Echéance Clôture Sept. 2021 261,00 Déc. 2021 243,75 Mars 2022 241,75 Volume 52208 Maïs Euronext Echéance Clôture Nov. 2021 215,75 Janv. 2022 217,50 Mars 2022 218,75 Volume 762 Blé Union Européenne CME Echéance Clôture Sept. 2018 159,25 Déc. 2018 163,25 Mars 2019 164,75 Volume 0 Cotations des marchés internationaux du 19 août 2021 Energie Echéance Valeur à la clôture Pétrole Nymex Oct. 2021 63,50 $ Indices des frets maritimes du 13 août Variation Baltic Dry Index BDI 3566 63,00 Baltic Capesize Index BCI 4766 158,00 Baltic Panamax Index BPI 3566 16,00 Baltic Supramax Index BSI 3098 19,00 Baltic Handysize Index BHSI 1816 17,00

Jeudi5 mai, dans la revue Science, elle révèle que, sous les glaces de l’Antarctique, se cache une quantité invraisemblable d’eau jusqu’ici totalement inconnue. A l’heure du
Publié le 13/08/2022 à 2138 du breil au pontil Fermeture secrétariat La population est informée que le secrétariat de mairie sera fermé au public du lundi 15 au vendredi 19 localeÀ l’initiative du dynamique comité, les grandes festivités locales se dérouleront cette année du jeudi 25 au dimanche 28 août. Ce moment de liesse tant attendu se partagera autour d’apéritifs-concerts, de concours de pétanque et d’attractions pour les plus jeunes. Durant ces quatre jours, venez retrouver une ambiance chaleureuse et festive à travers le programme suivant - Jeudi 25 août, à partir de 19 h, animation musicale aura pour cadre le café Le Képi Vendredi 26 août, concours de pétanque en doublettes et concert avec le groupe Samedi 27 août, concours de pétanque en triplettes et bal avec la formation Dimanche, à 11 h, messe en l’église de Pomas avec la participation du cœur d’hommes local Les Voix sans Soif à 12 h, apéritif offert par la mairie. Ensuite, une paella géante et autres mises en bouche, agrémentées d’animations musicales signées Le Chanteur du dimanche et le groupe Evidence, régaleront ceux qui se seront inscrits,.Ces quatre jours de fête se termineront par un apéritif agrémenté des prestations de la disco mobile "R’n’J" autour d’un foodtruck. . 566 624 472 135 208 198 646 176

77 de la surface de la russie